-Cheptel important et en constante augmentation (1 732 950 tête en 2011, 1.774.740 en 2012 et 1 825 070 en 2013),
-Existence de pâturage naturel : 23 ha, les superficies des forêts classées : 122 180 ha, les massifs forestiers naturels : 20 476 ha),
-Existence des terres salées,
-Existence de races locales performantes (zébu peul, maure, chèvre géra…),
-Existence d’unités de fabrique d’aliments bétail (Moulin du Sahel),
-Existence d’une demande assez forte en produits d’élevage,
-Professionnalisme des éleveurs,
-Éxistence de schémas pastoraux (cas de l’AMUMA),
-Évolution des anciennes concessions rurales en fermes d’élevage : embouche, élevage laitier, aviculture
-Éxistence d’initiative de soutien pour l’installation des jeunes producteurs à travers l’APEJ, le FARE, l’ANPE (Kati, Baguinéda, Sanakoroba…)
-Secteur dominé par les Opérateurs privés.
-Éxistence de services d’encadrement de l’État et surtout d’Opérateurs privés /mandataires dans certaines grandes communes et les centres urbains.
-Éxistence d’OP et de faitières assez dynamique dans le secteur (Coopératives, FEBEVM et démembrements)
-Éxistence de partenaires techniques et d’ONG d’appui à la filière d’élevage (SNV, ICD…) avec de nombreux projets (PRODEVALAIT…) et les initiatives des structures comme l’APEJ et l’ANPE pour la création d’entreprises dans la filière (Projet Emploi jeunes…)
-Éxistence d’Institutions finances) Élevage (Banques et Micro finances)
-Prise en compte de la filière Élevage dans les PDESC des collectivités
-Règlementation du secteur de l’élevage à travers l’adoption des textes (la LOA, Charte pastorale et la politique Nationale d’élevage)
-Éxistence d’infrastructures d’élevage (parc de vaccination, Air d’abattage, marchés à bétail, abreuvoirs dans presque toutes les communes du cercle).
-Amélioration de la santé animale à travers des programmes réguliers de vaccination des animaux avec d’autres traitements (déparasitage, traitement aux anti-infectieux)
-Information régulière sur l’état et les disponibilités en pâturage et eau, sur les épidémies et activités de prévention
-Production de viande, peaux et cuirs avec l’accroissement de l’élevage pour embouche
-Importante production en lait avec les fermes et l’organisation de la filière lait,
-production d’œufs et de miel avec les fermes avicoles et apicoles
-Existence de bonnes races laitières
-Pratique de l’insémination artificielle
-Introduction progressive des pratiques modernes (élevage intensif) dans les fermes à la périphérie de Bamako
-Existence d’unités de conservation et de transformation avec : *la réhabilitation des abattoirs dans les périphériques
*la création de centres de collecte et de transformation de lait
*l’existence d’Unités artisanales et semi industrielles de conservation de lait (yaourt)
*la création des centres de collecte et de commercialisation des œufs avec l’émergence de grossistes pour la distribution.
-Existence de marchés à bétail importants (Kati Dral, Sanankoroba, Ouélessébougou et Niamana)
-Diversité des catégories de produits d’élevage sur les marchés (gros et petit bétail, volaille etc.